Frédéric Dusart pense que le point-average aura son importance en fin de saison. Il est donc satisfait de l’écart de 33 points infligé par les Guerrières aux joueuses d’Olivier Lafargue. Un score qui s’est construit grâce à une grosse intensité défensive.
Fred Dusart, entraîneur de Villeneuve d’Ascq
Nous avons été très réguliers dans la défense. Même si nous avons eu deux ou trois passage un peu à vide. Mais bon ce n’est pas évident de rester concentrés tout le temps.
J’ai insisté aussi sur le fait que le goal-average est important. On ne sait jamais ce qui va se passer dans cette saison, même si pour l’instant Basket Landes reste devant nous. Si, à un moment donnée, il y a une égalité à deux, trois ou quatre équipes, c’est tellement compact dans cette ligue, qu’un tel de 33 points…
C’est bien ça ? (Il s’adresse aux journalistes avec dérision) Vous avez suivi le match ? Vous vous êtes endormis à la mi-temps ?
On sait qu’en championnat, nous avons grillé beaucoup de jokers. Il faut essayer de faire 3 sur 3, sur les 3 derniers matchs qu’il nous reste (en 2016).
Nous allons à Lyon, c’est périlleux, l’année dernière nous avons perdu. Nous recevons Nantes qui a battu Basket Landes. Nous recevons Mondeville contre qui j’espère que nous aurons une réaction d’orgueil, par rapport à ce qu’il s’est passé à l’Open.
Si nous faisons 3 victoire en 3 match, nous serons revenus mathématiquement dans le top 4 et nous serons bien placés et nous aurons une deuxième partie de saison avec une équipe qui se connait, qui a plus de routines de jeu, de travail. Par rapport à ce début de saison, forcément, nous ne pouvons que progresser.
J’ai toujours demandé de la patience avec cette équipe, nous avons signé beaucoup de joueuses pour 2 ans. Cela a toujours été un projet sur 2 ans. On commence à se connaître, cela devient très intéressant. Il faut atteindre le summum de notre jeu aux mois de mars, avril, mai.
Retrouvez les autres réactions d’après match :
- Johanne Gomis
- Julie Barennes
- Olivier Lafargue